Quetta, southwest Pakistan - Oct 25, 2016
1. Gate to police training college
2. Various of police officers on guard
3. Media outside school
4. Police officers on guard
5. Wall

Five to six militants stormed a police training college in southwest Pakistan's Quetta Monday night, killing at least 59 and leaving more than a hundred injured.

Over 200 others were held hostage, with some released later.

Witnesses heard consistent gunfire and at least three explosions.

The militants wearing suicide vests launched the attacks when the instructors and cadets were sleeping. A survival said he saw two militants begin shooting at a room.

The college now has closed its gate, and no media is allowed to enter.

No organizations have so far claimed responsibility for this deadly incident.

Quetta, Pakistan - 25 oct. 2016
1. Divers plans de l'entrée du centre de formation de police attaqué
2. Divers plans de policers armés à l'entrée
3. Divers plans de gens entrant et sortant
4. Mur d'enceinte

Au moins 59 personnes ont été tuées et 117 autres blessées dans la nuit de lundi à mardi dans un attentat terroriste contre un centre de formation de police dans la ville pakistanaise de Quetta (sud-ouest), a rapporté mardi matin la presse pakistanaise.

Le bilan de l'attentat s'est alourdi après que de nouveaux corps ont été trouvés dans le centre de formation à la fin de l'opération menée par les forces de sécurité contre les terroristes, a rapporté la chaîne de télévision Samaa. Cette information n'a toutefois pas été confirmée par une source officielle.

Plus tôt, le ministre de l'Intérieur de la province, Sarfaraz Bugti, avait indiqué que plus de 20 personnes avaient été tuées et 109 autres blessées dans l'attaque, qui a eu lieu dans le quartier de Saryab Road à Quetta, chef-lieu de la province du Baloutchistan, dans le sud-ouest du Pakistan.

Selon le chef du corps paramilitaire des frontières, le général de division Sher Afgun, trois terroristes qui portaient des gilets explosifs et étaient équipés d'armes automatiques et de grenades se sont infiltrés dans le centre à partir de l'arrière-cour après avoir tué un garde vers 23 h 05 (heure locale).

Les terroristes ont occupé un dortoir du centre de formation et pris en otage environ 200 agents de police dans la cantine.

Le général Sher Afgun a précisé que l'opération contre les terroristes avait pris fin lorsque les trois terroristes ont été tués après quatre heures d'échange de tirs.

À la suite de l'attaque, l'armée pakistanaise et le corps des frontières sont arrivés sur les lieux et ont bouclé le centre de formation avant de lancer l'opération.

Selon la police, 500 à 700 policiers, dont des agents en formation et des instructeurs, étaient présents dans le centre au moment de l'attaque.

Le Premier ministre pakistanais Nawaz Sharif a condamné cette attaque, et déclaré que les terroristes ne pouvaient pas briser le moral de la nation avec des attaques comme celle-ci et que la guerre menée par le pays contre le terrorisme aurait la fin qu'elle mérite.

Aucun groupe n'a revendiqué cette attaque jusqu'à présent. Le général Sher Afgun a toutefois déclaré que les terroristes appartenaient à une organisation interdite, Lashkar-e-Jhangvi al-Almi, et que les commanditaires de l'attaque étaient basés en Afghanistan.

Quetta, suroeste de Pakistán - 25 de octubre de 2016
1. Puerta de academia de policía
2. Varios planos de policías de guardia
3. Medios de comunicación fuera de la academia
4. Agentes de policía de guardia
5. Muro

De cinco a seis militantes irrumpieron el lunes por la noche en una academia de policía en Quetta, suroeste de Pakistán, matando al menos a 59 personas y dejando más de un centenar de heridos.

Además, alrededor de 200 personas fueron tomadas como rehenes, aunque algunos de ellas fueron liberadas más tarde.

Los testigos escucharon disparos constantes y al menos tres explosiones.

Los militantes, que llevaban chalecos suicidas, lanzaron los ataques cuando los instructores y cadetes estaban durmiendo. Una sobreviviente relató que vio a dos militantes disparando en una habitación.

La academia ha cerrado sus puertas, y no se permite a los medios entrar.

Hasta el momento, ninguna organización ha reclamado la autoría del ataque.