Palermo, Italy - Nov 12, 2018 (CCTV - No access Chinese mainland)
1. Various of exterior of meeting venue, flags of participating parties of Conference for Libya
2. Various of people at meeting venue, sign showing Conference for Libya
3. Various of delegations arriving for conference

Rome, Italy - Nov 10, 2018 (CCTV - No access Chinese mainland)
4. Various of buildings, statues, pedestrians
5. SOUNDBITE (Italian) Matteo Bressan, analyst, NATO Defense College Foundation (partially overlaid with shot 6):
"We cannot ignore that it's not a conference for the Libya issue, but a conference for Libyans. Therefore, relevant countries should not participate in the conference with external plans to solve the Libya issue, instead, they should make efforts to support the internal political process in Libya."
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6. EU flag, Italian national flag
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Palermo, Italy - Nov 12, 2018 (CCTV - No access Chinese mainland)
7. Italian Prime Minister Giuseppe Conte shaking hands with Xu Jinghu, Special Representative of Chinese Government on African Affairs
8. Various of Conte shaking hands with attendees

Countries attending the Conference for Libya should make efforts to support Libya's internal political process, an analyst of the NATO Defense College Foundation said.

The two-day Conference for Libya opened Monday evening in Palermo, a southern Italian city, "to bring substance to the stabilization process" in the north African country.

During an interview with China Central Television (CCTV), NATO Defense College Foundation analyst Matteo Bressan said the conference should be for the Libyan people rather than the issue itself.

"We cannot ignore that it's not a conference for the Libya issue, but a conference for Libyans. Therefore, relevant countries should not participate in the conference with external plans to solve the Libya issue, instead, they should make efforts to support the internal political process in Libya," he said.

Italian Prime Minister Giuseppe Conte welcomed the heads of delegations participating in the conference. All guests gathered for a working dinner after the opening ceremony of the major event, which would stretch throughout Tuesday.

The conference was organized by Rome in collaboration with the United Nations Support Mission in Libya (UNISMIL) "to provide a tangible contribution to the stabilization process in the country," according to Italian authorities.

Thirty-eight delegations were confirmed as taking part in the talks, among which were 10 heads of state and government, and foreign ministers from 20 other countries.

Participants included Libya's four key actors: Prime Minister of UN-backed Government of National Accord (GNA) Fayez al-Sarraj, Head of the High State Council Khalid al-Mishri, President of the House of Representatives (HoR) Ageela Saleh, and General Khalifa Haftar of the Libyan National Army.

International players included representatives from France, Russia, China, United States, Germany, Egypt, Turkey, Saudi Arabia, and United Arab Emirates among others, as well as from the European Union (EU), the Arab League, the World Bank, and the International Monetary Fund.

The conference will reach its crucial phase on Tuesday, with a plenary session of all heads of delegations gathered at Villa Igiea hotel.

According to the schedule, the outcome would be outlined by Conte and the UN Special Envoy for Libya Ghassan Salamein in a press conference on Tuesday afternoon.

Palerme, Italie - 12 nov. 2018 (CCTV - Pas d'accès dans la partie continentale de Chine)
1. Divers plans de l'intérieur de l'hôtel

Rome, Italie - 12 nov. 2018 (CCTV - Pas d'accès dans la partie continentale de Chine)
2. Divers plans de la ville
3. SONORE (italien) - Matteo Bressan, analyste de la Fondation du Collèfe de défense de l'OTAN (partiellement couverte par le plan 4)
"Nous ne pouvons pas feindre de ne pas savoir qu'il ne s'agit pas d'une conférence visant à résoudre le problème libyen, mais d'une conférence pour les Libyens. Si bien qu'au lieu d'amener des plans de résolution externes, les pays concernés devraient s'efforcer de soutenir le processus politique en Libye."
++PLAN DE COUPE SUR SONORE++
4. Drapeaux italien et européen
++PLAN DE COUPE SUR SONORE++

Palerme, Italie - 12 nov. 2018 (CCTV - Pas d'accès dans la partie continentale de Chine)
5.Le Premier ministre italien parlant avec Xu Jinghu, représente du gouvernement chinois pour les affaires africaines
6. Divers plans de Conte serrant la main avec des invités

Les pays prenant part à la Conférence pour la Libye devraient s'efforcer de la soutenir dans son processus politique, a déclaré Matteo Bressan, analyste de la Fondation du Collèfe de défense de l'OTAN.

Cette conférence de deux jours s'est ouverte lundi à Palerme, chef-lieu de la Sicile au sud de l'Italie en vue de donner corps au processus de stabilisation en Libye. Selon Matteo Bressan, la conférence palermitaine devrait servir les intérêts du peuple libyen plutôt que de s'attaquer au problème proprement dit.

"Nous ne pouvons pas feindre de ne pas savoir qu'il ne s'agit pas d'une conférence visant à résoudre le problème libyen, mais d'une conférence pour les Libyens. Si bien qu'au lieu d'amener des plans de résolution externes, les pays concernés devraient s'efforcer de soutenir le processus politique en Libye", a-t-il indiqué.

Le Premier ministre italien Giuseppe Conte a réservé un accueil chaleureux aux chefs de délégation étrangers. Et un dîner de travail a eu lieu en marge de la cérémonie d'ouverture. La conférence pour la Libye a été co-organisée par le gouvernement italien et la mission d'appui des Nations unies en Libye (MANUL). D'après les autorités italiennes, elle a pour objectif d'apporter une contribution tangible au processus de stabilisation en Libye.

Dix chefs d'État et de gouvernement et vingt ministres des Affaires étrangères issus des 38 pays ont participé à cette conférence. Côté libyen, on retient quatre personnages clés à savoir Fayez al-Sarraj, le Premier ministre du gouvernement d'union national (GNA) soutenu par l'ONU, Khalid al-Mishri, le chef du conseil de l'État de Tripoli, Aguila Saleh, le président du parlement et le maréchal Khalifa Haftar, chef de l'Armée nationale libyenne (ANL). Côté international, la France, la Russie, la Chine, les États-Unis, l'Allemagne, l'Égypte, la Turquie, l'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis ainsi que l'Union européenne, la Ligue arabe, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international ont envoyé leur représentant.

Mardi, une session plénière se déroule au Villa Igiea, l'hôtel le plus célèbre de la capitale sicilienne. Selon l'agenda de la conférence, un point de presse sera présidé dans l'après-midi de la même journée par le Premier ministre italien et Ghassan Salamein, l'envoyé spécial de l'ONU en Libye.