London, UK - Feb 8, 2020 (CGTN- No access Chinese mainland)
1. Various of researchers doing experiment in lab
2. SOUNDBITE (English) Dr. John S. Tregoning, Faculty of Medicine in Department of Infectious Disease, Imperial College London (starting with shot 1):
"It has been remarkably good about how the Chinese scientists have shared their research and their data very openly and very quickly, and that has enabled not only the development of vaccines but also of diagnostic tests which can then be used globally to reduce the spread of disease."
3. Various of researcher doing experiment in lab
4. SOUNDBITE (English) Dr. John S. Tregoning, Faculty of Medicine in Department of Infectious Disease, Imperial College London (starting with shot 3):
"To make the biologically safe material, you need very specific types of factories, and you need to develop those processes once we know which vaccine is going to work. So, there is a delay time in that process but also we need to make sure it’s safe and do the test properly before. Rushing it through and getting an unsafe vaccine would be far worse than doing it as quickly as we are able to and getting a safe, effective vaccine."
5. Various of researchers doing experiment in lab
6. SOUNDBITE (English) Professor Robin Shattock, head, Mucosal Infection and Immunity in Department of Medicine at Imperial College London (starting with shot 5):
"We need to make sure that we have a vaccine available as an insurance policy. Now if we develop that vaccine and it's not needed outside China, that's not a problem, that's a good thing. We just need to make sure something is in place and available as fast as possible."
7. St. Mary's Hospital
8. Road sign of St. Mary's Hospital

A team of UK scientists from Imperial College London have begun animal testing of a vaccine for the new coronavirus epidemic.

They have come up with a candidate vaccine in just 14 days, something that can take months or even years, thanks in part to the collaborative approach taken by China.

Dr. John S. Tregoning from the Faculty of Medicine in the Department of Infectious Disease thanked Chinese scientists for sharing key data with the international health community, which has enabled the research team to get a quick breakthrough.

"It has been remarkably good about how the Chinese scientists have shared their research and their data very openly and very quickly, and that has enabled not only the development of vaccines but also of diagnostic tests which can then be used globally to reduce the spread of disease," Dr. Tregoning said.

Tests of the vaccine on animals, mice and primates, began this week. If all goes well, clinical human trials could start this summer. Then a phase two human trial will have to be undertaken, before mass production can become viable.

"To make the biologically safe material, you need very specific types of factories, and you need to develop those processes once we know which vaccine is going to work. So, there is a delay time in that process but also we need to make sure it’s safe and do the test properly before. Rushing it through and getting an unsafe vaccine would be far worse than doing it as quickly as we are able to and getting a safe, effective vaccine," said Dr. Tregoning.

With new cases of the virus occurring in countries around the world, the lead researcher overseeing the vaccine's development says their work is crucial irrespective of whether the coronavirus is effectively contained or not.

"We need to make sure that we have a vaccine available as an insurance policy. Now if we develop that vaccine and it's not needed outside China, that's not a problem, that's a good thing. We just need to make sure something is in place and available as fast as possible," said Professor Robin Shattock, head of Mucosal Infection and Immunity in the Department of Medicine.

Imperial College London is not the only team working on a vaccine, as scientists around the world take on the challenge of finding a way to protect people against the disease. And while researchers are working at speed, it's thought the very earliest vaccines could be available is late this year.

Londres, Royaume-Uni – 8 févr. 2020 (CGTN - Pas d’accès dans la partie continentale de Chine)
1. Divers plans de chercheurs travaillant dans un laboratoire
2. SONORE (anglais) - John S. Tregoning, Faculté de médecine du Département des maladies infectieuses à l’Imperial College à Londres (commencée avec plan 1):
"C’était remarquablement bénéfique que les scientifiques chinois partagent leurs recherches et leurs données très rapidement et très ouvertement. Cela a non seulement contribué au développement du vaccin, mais aussi permis au monde entier d’utiliser les tests de diagnostic pour réduire la propagation de la maladie."
3. Divers plans de chercheurs travaillant dans un laboratoire
4. SONORE (anglais) - John S. Tregoning, Faculté de médecine du Département des maladies infectieuses à l’Imperial College à Londres (commencée avec plan 3):
"Pour produire un matériel biologiquement sûr, nous aurons besoin d’usines très spécifiques, et nous devons faire progresser ces processus une fois que nous aurons déterminé tel vaccin fonctionne. Il y a donc un décalage sur le plan du temps dans ce processus, mais nous devons également nous assurer que le vaccin soit sûr et faire les essais de manière appropriée avant de le produire. Élaborer un vaccin dangereux serait bien pire que de développer un vaccin sûr et efficace le plus vite possible."
5. Divers plans de chercheurs travaillant dans un laboratoire
6. SONORE (anglais) - Robin Shattock, chef de l'Infection muqueuse et de l'immunité du Département de médecine à l’Imperial College à Londres (commencée avec plan 5):
"Nous devons nous assurer que nous ayons un vaccin disponible comme police d'assurance. Maintenant, nous développons ce vaccin et il n'est pas nécessaire en dehors de la Chine, ce n'est pas un problème, c'est une bonne chose. Nous devons juste nous assurer que quelque chose soit en place et disponible le plus vite possible."
7. Le St. Mary's Hospital
8. Panneau indiquant le St. Mary's Hospital

À des milliers de kilomètres de l'épicentre du nouveau coronavirus, ou Covid-19, une équipe de recherche de l'Imperial College à Londres a trouvé un vaccin candidat en seulement 14 jours, en partie grâce à la collaboration avec la Chine, un processus laborieux qui peut prendre généralement deux à trois ans.

Le docteur John S. Tregoning de la Faculté de médecine du Département des maladies infectieuses a remercié les scientifiques chinois pour avoir partagé des données clés avec la communauté internationale de la santé, ce qui a permis selon lui à l'équipe de recherche de réaliser promptement une percée.

"C’était remarquablement bénéfique que les scientifiques chinois partagent leurs recherches et leurs données très rapidement et très ouvertement. Cela a non seulement contribué au développement du vaccin, mais aussi permis au monde entier d’utiliser les tests de diagnostic pour réduire la propagation de la maladie", estime le docteur Tregoning.

Les tests du vaccin sur des animaux, des souris et des primates, ont commencé cette semaine. Si tout se passe bien, les essais cliniques sur l’homme pourraient commencer cet été. Ensuite, un essai humain de phase deux devra être entrepris, avant que la production de masse ne puisse devenir viable.

"Pour produire un matériel biologiquement sûr, nous aurons besoin d’usines très spécifiques, et nous devons faire progresser ces processus une fois que nous aurons déterminé tel vaccin fonctionne. Il y a donc un décalage sur le plan du temps dans ce processus, mais nous devons également nous assurer que le vaccin soit sûr et faire les essais de manière appropriée avant de le produire. Élaborer un vaccin dangereux serait bien pire que de développer un vaccin sûr et efficace le plus vite possible", souligne le docteur Tregoning.

Avec de nouveaux cas d’infection du virus signalés dans de nombreux pays à travers le monde, le chercheur principal supervisant le développement du vaccin affirme que leur travail est crucial, que le coronavirus soit effectivement contenu ou non.

"Nous devons nous assurer que nous ayons un vaccin disponible comme police d'assurance. Maintenant, nous développons ce vaccin et il n'est pas nécessaire en dehors de la Chine, ce n'est pas un problème, c'est une bonne chose. Nous devons juste nous assurer que quelque chose soit en place et disponible le plus vite possible", affirme le professeur Robin Shattock, chef de l'Infection muqueuse et de l'immunité du Département de médecine.

L'Imperial College à Londres n'est pas la seule équipe à travailler sur un vaccin. Les scientifiques du monde entier sont engagés dans une course pour trouver un moyen de protéger la population mondiale contre la maladie, ils espèrent aboutir à un vaccin disponible d’ici la fin de cette année.

Londres, Reino Unido - 8 de febrero de 2020 (CGTN - No acceso a la parte continental de China)
1. Serie de planos de investigadores trabajando en laboratorio
2. SONIDO SINCRÓNICO (inglés) Dr. John S. Tregoning, profesor de la Facultad de Medicina del Departamento de Enfermedades Infecciosas del Colegio Imperial de Londres (empieza con plano 1):
"Ha sido extraordinariamente bueno que los científicos chinos hayan compartido su investigación y sus datos de manera muy abierta y muy rápida, y eso ha facilitado no solo el desarrollo de vacunas sino también las pruebas diagnóstico que luego pueden usarse a nivel mundial para reducir la propagación de la enfermedad".
3. Serie de planos de investigador trabajando en laboratorio
4. SONIDO SINCRÓNICO (inglés) Dr. John S. Tregoning, profesor de la Facultad de Medicina del Departamento de Enfermedades Infecciosas del Colegio Imperial de Londres (empieza con plano 3):
"Para hacer un material biológicamente seguro, se necesitan tipos muy específicos de fábricas, y es necesario desarrollar esos procesos una vez sepamos qué vacuna funcionará. Por lo tanto, hay un tiempo de espera en ese proceso, pero también debemos asegurarnos de que la vacuna sea segura y hagamos la prueba adecuadamente antes. Acelerarlo y obtener una vacuna insegura sería mucho peor que hacerlo lo más rápido posible y obtener una vacuna segura y efectiva".
5. Serie de planos de investigadores trabajando en laboratorio
6. SONIDO SINCRÓNICO (inglés) Robin Shattock, jefe de Infección e Inmunidad de las Mucosas del Departamento de Medicina del Colegio Imperial de Londres (empieza con plano 5):
"Necesitamos asegurarnos de tener una vacuna disponible como póliza de seguro. Ahora, si desarrollamos esa vacuna y no es necesaria fuera de China, eso no es un problema sino algo bueno. Solo debemos asegurarnos de que algo esté en su lugar y disponible lo más rápido posible".
7. Hospital St. Mary
8. Letrero del Hospital de St. Mary, peatones

Un equipo de científicos británicos del Colegio Imperial de Londres ha comenzado las pruebas en animales de una vacuna contra el nuevo coronavirus.

Han presentado una vacuna candidata en solo 14 días, algo que puede llevar generalmente meses o incluso años, gracias en parte al enfoque colaborativo adoptado por China.

El Dr. John S. Tregoning, de la Facultad de Medicina del Departamento de Enfermedades Infecciosas, agradeció a los científicos chinos por compartir datos clave con la comunidad internacional de la salud, lo que ha permitido al equipo de investigación un rápido avance.

"Ha sido extraordinariamente bueno que los científicos chinos hayan compartido su investigación y sus datos de manera muy abierta y muy rápida, y eso ha facilitado no solo el desarrollo de vacunas sino también las pruebas diagnóstico que luego pueden usarse a nivel mundial para reducir la propagación de la enfermedad", reconoció el Dr. Tregoning.

Las pruebas de la vacuna en animales, ratones y primates, comenzaron esta semana. Si todo va bien, los ensayos clínicos en humanos podrían iniciarse este verano. Después, se deberá realizar un ensayo de fase dos en humanos, antes de que la producción en masa pueda ser viable.

"Para hacer un material biológicamente seguro, se necesitan tipos muy específicos de fábricas, y es necesario desarrollar esos procesos una vez sepamos qué vacuna funcionará. Por lo tanto, hay un tiempo de espera en ese proceso, pero también debemos asegurarnos de que la vacuna sea segura y hagamos la prueba adecuadamente antes. Acelerarlo y obtener una vacuna insegura sería mucho peor que hacerlo lo más rápido posible y obtener una vacuna segura y efectiva", explicó el Dr. Tregoning.

Con los nuevos casos del virus que surgen en países de todo el mundo, el investigador principal que supervisa el desarrollo de la vacuna subrayó que su trabajo es crucial independientemente de si el coronavirus es eficazmente contenido o no.

"Necesitamos asegurarnos de tener una vacuna disponible como póliza de seguro. Ahora, si desarrollamos esa vacuna y no es necesaria fuera de China, eso no es un problema sino algo bueno. Solo debemos asegurarnos de que algo esté en su lugar y disponible lo más rápido posible", señaló el profesor Robin Shattock, jefe de Infección e Inmunidad de las Mucosas del Departamento de Medicina.

El Colegio Imperial de Londres no es el único equipo que trabaja en las vacunas, ya que los científicos de todo el mundo asumen el reto de encontrar una manera de proteger a las personas contra la enfermedad. Y aunque los investigadores están trabajando a gran velocidad, se estima que las primeras vacunas podrían estar disponibles no antes de finales del año en curso.