Paris, France - Feb 26, 2021 (CCTV - No access Chinese mainland)
1. Various of building, sign of research laboratory of public water utility company Eau de Paris
2. Various of researchers in lab
3. Various of researcher sampling wastewater, conducting experiment
4. Various of Laurent Moulin, head of research laboratory in lab
5. SOUNDBITE (French) Laurent Moulin, head of research laboratory, Eau de Paris (partially overlaid with shot 6/ending with shot 7):
"After France imposed the first national lockdown, we see this increase in the concentration of the viral genome in Greater Paris region. The concentration declined after the second-time lockdown. But we did not go down to a very low level. We did a slightly average level which is quite rather stable during curfew. But in the past ten days or more, it has been back to the upward trend again."

++SHOT OVERLAYING SOUNDBITE++
6. Chart
++SHOT OVERLAYING SOUNDBITE++
7. Chart
8. Various of researchers in laboratory
9. SOUNDBITE (French) Laurent Moulin, head, research laboratory, Eau de Paris:
"There was always a question about the number of asymptomatic people. Out of all the people who were infected, those who had symptoms would be detected, while those without symptoms would not go for a test and therefore could not be detected in the result feedback. However, based on wastewater, we finally had a good view of the entire population."
10. Various of researcher conducting experiment

An analysis of sewage samples can help monitor the total COVID-19 situation in a region as it contains information about asymptomatic cases which usually wouldn't go for a test, according to a research laboratory in Paris.

In an interview with China Media Group (CMG), Laurent Moulin, who heads the analysis and research laboratory run by the Eau de Paris water company showed the chart of test results from March 2020 which indicates that concentrations of the novel coronavirus genome in wastewater samples closely matched the changes of daily COVID-19 cases in France.

"After France imposed the first national lockdown, we see this increase in the concentration of the viral genome in Greater Paris region. The concentration declined after the second-time lockdown. But we did not go down to a very low level. We did a slightly average level which is quite rather stable during curfew. But in the past ten days or more, it has been back to the upward trend again," said Moulin.

The lab also added the variants of the novel coronavirus found in the UK to the research which also confirmed the accelerated spread of the virus in the greater Paris region.

Compared to data from virus tests, the wastewater sample analysis can provide an earlier sign of virus transmission as it reveals the total situation several days or even weeks in advance through human excrement in domestic wastewater.

"There was always a question about the number of asymptomatic people. Out of all the people who were infected, those who had symptoms would be detected, while those without symptoms would not go for a test and therefore could not be detected in the result feedback. However, based on wastewater, we finally had a good view of the entire population," said Moulin.

Paris, France - 26 févr. 2021 (CCTV - No access Chinese mainland)
1. Divers plans du bâtiment, plaque indiquant le laboratoire d'Eau de Paris
2. Divers plans de chercheurs travaillant dans un laboratoire
3. Divers plans de Laurent Moulin, responsable du laboratoire de recherche
d'Eau de Paris
4. SONORE (français) - Laurent Moulin, responsable du laboratoire de recherche d'Eau de Paris (partiellement couverte par plan 5/terminée avec plan 6):
"On voit après le (premier) confinement cette augmentation de la concentration du génome viral en Île-de-France. Ensuite, le (deuxième) confinement a permis une forte descente de la concentration. Mais on n'est pas descendu à un niveau très, très bas, on a fait un niveau un petit peu moyen qui est assez plutôt stable sur le temps et qui est depuis une dizaine de jours on est sur une tendance à la réaugmentation."
++PLAN DE COUPE SUR SONORE++
5. Tableau de résultats de tests
++PLAN DE COUPE SUR SONORE++
6. Tableau de résultats de tests
7. Divers plans de chercheurs travaillant dans un laboratoire
8. SONORE (français) - Laurent Moulin, responsable du laboratoire de recherche d'Eau de Paris :
"ll y avait toujours un questionnement sur la quantité de personnes asymptômatiques. Sur tous les gens qui étaient malades, il y aviat des gens qui ont été détectés. Mais il y avait toute une masse, une quantité de personnes qui n'avaient pas fait de test, donc, on n'avait pas le résultat. Et en se basant sur les eaux usées, on avait finalement une bonne vision de l'ensemble de la population."
9. Divers plans de chercheurs travaillant dans un laboratoire

L’analyse des eaux usées est une méthode efficace permettant d’anticiper à temps la situation de crise sanitaire et de mettre en œuvre des mesures appropriées de prévention et de contrôle de l’épidémie, selon un expert du laboratoire de recherche d'Eau de Paris.

Lors d'une interview accordée à China Media Group (CMG), Laurent Moulin, qui dirige le laboratoire d'analyse et de recherche d'Eau de Paris, a montré le tableau de résultats des tests effectués en mars 2020 qui indique que le changement de la concentration du génome du nouveau coronavirus dans les échantillons d'eaux usées correspondait étroitement à l'évolution des cas de Covid-19 en France.

"On voit après le (premier) confinement cette augmentation de la concentration du génome viral en Île-de-France. Ensuite, le (deuxième) confinement a permis une forte descente de la concentration. Mais on n'est pas descendu à un niveau très, très bas, on a fait un niveau un petit peu moyen qui est assez plutôt stable sur le temps et qui est depuis une dizaine de jours on est sur une tendance à la réaugmentation", indique M. Moulin.

En outre, des tests du variant du virus mortel détecté pour la première fois au Royaume-Uni ont également été effectués dans le cadre du programme, et ont confirmé encore une fois la dynamique en hausse de la circulation de la pandémie dans la région parisienne.

Par rapport aux résultats de tests de dépistage à travers le pays, l'analyse des selles dans les eaux usées des stations d'épuration peut fournir un indicateur fiable permettant d’évaluer la situation réelle de transmission de la maladie infectieuse, avec plusieurs jours, voire plusieurs semaines d'avance.

"ll y avait toujours un questionnement sur la quantité de personnes asymptômatiques. Sur tous les gens qui étaient malades, il y avait des gens qui ont été détectés. Mais il y avait toute une masse, une quantité de personnes qui n'avaient pas fait de test, donc, on n'avait pas le résultat. Et en se basant sur les eaux usées, on avait finalement une bonne vision de l'ensemble de la population", explique l’expert.