Idlib, Syria - Recent (CGTN - No Access Chinese Mainland/Orient TV/Syria Alshaab TV/Zanoubia TV/Alhurra TV/ANN TV/Al Jazeera/Al-Arabiya TV)
1. Damaged houses
2. Various of soldiers

Ankara, Turkey - Oct 14, 2018 (CCTV - No Access Chinese Mainland)
3. SOUNDBITE (English) Burak Ozpek, assistant professor, TOBB economy and technology university:
"In the future, if these militant groups feel that they are going to be dismantled, they are going to be cleansed from the region, they can show an unpredictable reaction towards the Turkey forces and the Russian forces."

FILE: Idlib, Syria - Date Unknown (CGTN - No Access Chinese Mainland/Orient TV/Syria Alshaab TV/Zanoubia TV/Alhurra TV/ANN TV/Al Jazeera/Al-Arabiya TV)
4. Various of damaged infrastructure

Ankara, Turkey - Oct 14, 2018 (CCTV - No Access Chinese Mainland)
5. SOUNDBITE (English) Oytun Orhan, coordinator, Syria studies, Center for Middle Eastern Studies:
"The information coming from the ground shows us that most of these elements will withdraw with the agreement. But the foreign fighters, the radicals, they are 'Muhajirins', are against it."

FILE: Damascus, Syria - Date Unknown (CCTV - No Access Chinese Mainland/Orient TV/Syria Alshaab TV/Zanoubia TV/Alhurra TV/ANN TV/Al Jazeera/Al-Arabiya TV)
6. National flag of Syria
7. Various of traffic

Turkey faces huge pressure to ensure all Syrian radical opposition forces evacuate from the demilitarized zone in the province of Idlib as of Monday, experts said on Sunday.

On Oct. 10, Turkish defense ministry announced the complete withdrawal of heavy weapons from Idlib according to the schedule of the Sochi Agreement reached between Russia and Turkey last month.

Experts said that was the first and the easiest part of the agreement. Turkey's limited influence on rebels and extremist terrorist groups will add uncertainties to the full execution of the agreement.

"In the future, if these militant groups feel that they are going to be dismantled, they are going to be cleansed from the region, they can show an unpredictable reaction towards the Turkey forces and the Russian forces," said Burak Ozpek, assistant professor at the TOBB economy and technology university.

According to data provided by the Center for Middle Eastern Studies, there are 80,000 to 90,000 armed fighters and 30,000 extremists and terrorists in Idlib. Although some organizations have withdrawn, those foreign members in extremist organizations are the least willing to leave, according to recent media report.

"The information coming from the ground shows us that most of these elements will withdraw with the agreement. But the foreign fighters, the radicals, they are 'Muhajirins', are against it," said Oytun Orhan, coordinator of Syria studies at the Center for Middle Eastern Studies.

Idlib, Syrie - Récent (CGTN - Pas d'accès dans la partie continentale de Chine/à Orient TV/à Syria Alshaab TV/à Zanoubia TV/à Alhurra TV/à ANN TV/à Al Jazeera/à Al Arabiya TV)
1. Habitations endommagées
2. Divers plans de soldats

Ankara, Turquie - 14 oct. 2018 (CCTV - Pas d'accès dans la partie continentale de Chine)
3. SONORE (anglais) - Burak Ozpek, professeur adjoint à l'Université d'économie et de technologie de l'Union des chambres de commerce de Turquie (TOBB Üniversitesi) :
"Si les groupes radicaux ressentaient un risque d’être démantelés, ils pourraient réagir de manière imprévisible contre les forces turques et les forces russes."

Idlib, Syrie - Récent (CGTN - Pas d'accès dans la partie continentale de Chine/à Orient TV/à Syria Alshaab TV/à Zanoubia TV/à Alhurra TV/à ANN TV/à Al Jazeera/à Al Arabiya TV)
4. Divers plans d'infrastructures endommagées

Ankara, Turquie - 14 oct. 2018 (CCTV - Pas d'accès dans la partie continentale de Chine)
5. SONORE (anglais) - Oytun Orhan expert sur la Syrie au centre d’études sur le Moyen-Orient :
"Les informations montrent que la plupart des groupes radicaux sont disposés à se retirer de la zone. Mais les combattants étrangers et les djihadistes refusent de mettre en œuvre cet accord."

ARCHIVES : Damas, Syrie - Récent (CCTV - Pas d'accès dans la partie continentale de Chine/à Orient TV/à Syria Alshaab TV/à Zanoubia TV/à Alhurra TV/à ANN TV/à Al Jazeera/à Al Arabiya TV)
6. Drapeau national syrien
7. Trafic

La Turquie fait face à une énorme pression dans une phase critique de la mise en œuvre d’un accord russo-turc qui prévoit la création d’une "zone démilitarisée" dans la province d'Idlib, dernier grand bastion insurgé dans le nord-ouest syrien.

À Sotchi, le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan se sont mis d'accord le 17 septembre pour la création d’une zone démilitarisée pour séparer les territoires contrôlés par Damas de ceux occupés par les insurgés, et éviter ainsi une possible catastrophe humanitaire à Idlib.

Le 10 octobre, le ministère turc de la Défense a annoncé que les groupes rebelles syriens avaient achevé de retirer leurs armes lourdes, selon la date limite qui avait été définie.

Selon l’accord, les rebelles radicaux devraient quitter la zone tampon avant le 15 octobre. Cependant, aucun retrait visible n'a été constaté jusqu'à dimanche avant minuit.

"Si les groupes radicaux ressentaient un risque d’être démantelés, ils pourraient réagir de manière imprévisible contre les forces turques et les forces russes", a indiqué Burak Ozpek, professeur adjoint à l'Université d'économie et de technologie de l'Union des chambres de commerce de Turquie (TOBB Üniversitesi).

Selon les données fournies par le Centre d'études sur le Moyen-Orient, il y aurait entre 80 000 et 90 000 combattants armés ainsi que 30 000 extrémistes et terroristes à Idlib.

"Les informations montrent que la plupart des groupes radicaux sont disposés à se retirer de la zone. Mais les combattants étrangers et les djihadistes refusent de mettre en œuvre cet accord", selon Oytun Orhan, expert de la Syrie au centre d’études sur le Moyen-Orient.