Brussels, Belgium - Dec 13, 2018 (CCTV - No access Chinese mainland)
1. Various of French President Emmanuel Macron arriving at meeting venue, speaking to press
2. German Chancellor Angela Merkel arriving at meeting venue, speaking to press
3. EU leaders talking before round-table meeting
4. Merkel, European Council President Donald Tusk (L1), Dutch Prime Minister Mark Rutte (R) greeting
5. European Commission President Jean-Claude Juncker (in green tie)
6. EU leaders talking
7. Various of British Prime Minister Theresa May (C) talking with Merkel
8. Various of EU leaders talking; May, Merkel, Rutte in discussion
9. Round table
10. Tusk seated, talking with others
11. May shaking hands with Slovakian Prime Minister Peter Pellegrini, taking seat
12. Tusk, other EU leaders at seats
13. Various of press room
14. Meeting venue
15. European Council building
16. EU flags

Despite facing strong opposition in the British parliament, the Brexit deal won't be re-open for renegotiation, EU leaders said on Thursday.

British Prime Minister Theresa May has faced a chaotic week in which she barely escaped with her job after canceling a meaningful vote in parliament when it became clear her deal would be roundly rejected, leading to a revolt within her own party and a vote of no confidence in her leadership. After surviving the vote on Wednesday evening, May jetted to Brussels to face EU leaders on Thursday for a two-day EU summit in Brussels, but was sternly told there can be no more concessions on the Brexit deal.

Dutch Prime Minister Mark Rutte told the press it will be "impossible" to revisit the divorce deal, saying "it is a given". His comments were echoed by Austrian Chancellor Sebastian Kurz, who said they don't want to renegotiate the withdrawal agreement.

French President Emmanuel Macron also told the press as he arrived that the legal framework of the negotiations and the draft agreement that has been reached should not be changed, but said political discussions can continue.

German Chancellor Angela Merkel also stood firm that the deal could not be renegotiated as the EU and the UK have held talks over the past year and the EU should stick to its principles.

Both European Council President Donald Tusk and European Commission President Jean-Claude Juncker earlier reaffirmed that the bloc won't renegotiate the deal, but the summit this time will look for ways to help May to push the withdrawal agreement through Parliament, which is likely to be voted on some time before Jan. 21.

For her part, May said she does not expect an "immediate breakthrough" on the Brexit deal at the summit, but is aware of the pressure to move forward as quickly as possible as the clock ticks before the UK's March 29 exit date.

Major questions linger about the transitional period upon Britain's exit from the EU and particularly over the issue of the Irish border backdrop, which remains the most controversial part of the divorce deal.

Bruxelles, Belgique - 14 déc. 2018 (CCTV - Pas d'accès dans la partie continentale de Chine)
1. Divers plans du président français Emmanuel Macron arrivant au lieu de la réunion et s'adressant à la presse
2. La chancelière allemande Angela Merkel arrivant au lieu de la réunion et s'adressant à la presse
3. Dirigeants de l'UE en discussion avant la table ronde
4. La chancelière allemande Angela Merkel, le président du Conseil européen Donald Tusk (permier à gauche) et le Premier ministre néerlandais Mark Rutte (droite) se saluant
5. Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker (en cravate verte)
6. Dirigeants de l'UE discutant
7. Divers plans de la Première ministre britannique Theresa May (centre) discutant avec Merkel
8. Divers plans de dirigeants de l'UE discutant; May, Merkel et Rutte discutant
9. Table ronde
10. Tusk assis, discutant avec d'autre dirigeants
11. May serrant la main au Premier ministre slovaque Peter Pellegrini, s'asseyant
12. Tusk et d'autres dirigeants européens assis
13. Divers plans de la salle de presse
14. Lieu de réunion
15. Siège du Conseil européen
16. Drapeaux de l'UE

Malgré la forte opposition au parlement britannique, l'accord de Brexit ne peut pas être renégocié, ont déclaré jeudi les dirigeants européens en marge d’un sommet à Bruxelles.

La Première ministre britannique Theresa May était confrontée à une semaine chaotique après avoir reporté un vote significatif au Parlement lorsqu'il est devenu évident que son accord serait rejeté, ce qui a entraîné une révolte au sein de son propre parti et un vote de défiance sur son leadership.

Après avoir remporté mercredi avec une marge conséquente le vote de défiance organisé par les députés conservateurs de son propre parti, Mme May s'est rendu jeudi à Bruxelles pour rencontrer les dirigeants européens, mais elle a fait face à des Européens qui lui ont répondu sévèrement qu'il ne pourrait plus y avoir de concessions sur l'accord.

Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a adressé à la presse qu'il serait "impossible" de renégocier l'accord de divorce. Le chancelier autrichien Sebastian Kurz a également exclu de rouvrir une négociation sur la substance de l'accord.
Le président français Emmanuel Macron a déclaré à la presse que le cadre juridique des négociations et le projet d'accord conclu ne devaient pas être modifiés, mais il a ajouté que les discussions politiques pourraient se poursuivre.

La chancelière allemande Angela Merkel a également affirmé que l'accord ne pourrait pas être renégocié, estimant que l'UE et le Royaume-Uni avaient eu de bonnes discussions au cours de l'année écoulée et que l'UE devait s'en tenir à ses principes.

Le président du Conseil européen, Donald Tusk, et le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, ont réaffirmé que le bloc ne renégocierait pas l'accord, indiquant que le sommet chercherait des moyens pour aider Mme May à faire approuver l'accord de divorce par le Parlement de son pays. L’accord devrait être voté avant le 21 janvier.

Pour sa part, Mme May a fait savoir qu'elle ne s'attendait pas à une "percée immédiate" sur l'accord, mais qu’elle était consciente de la pression pour avancer aussi vite que possible alors que le temps pressait avant la date de Brexit le 29 mars.

Des questions majeures demeurent quant à la période de transition après la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne et au "backstop", une solution imaginée dans l'accord de divorce pour éviter le retour d'une frontière physique entre l'Irlande et la province britannique d'Irlande du Nord.